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surnaturel, paranormal, légendes urbaines et phénomènes inexpliqués

surnaturel, paranormal, légendes urbaines et phénomènes inexpliqués
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22 juillet 2008

Soyez fidèles

Une jeune dame Allemande était excessivement attachée à son mari, et ils avaient fait le vœu  que celui qui mourrait le premier reviendrait après sa mort, voir le survivant. Un jour qu'elle était seule dans sa chambre, elle entendit des pas lourds dans l'escalier. La porte de sa chambre s'ouvrit, le spectre de son mari, le front entaillé par une profonde blessure et dans son uniforme de soldat, entra. Elle fut effrayer par l'apparition, et le fantôme lui dit que, lorsqu'il reviendrait lui rendre visite, elle entendrait chaque fois un glas, puis ces mots seraient murmurés distinctement à son oreille: "Mina je viens." Après des recherches, on trouva que son mari était tombé à la bataille le jour même où elle avait eu la vision. Les relations entre le mort et sa femme continuèrent quelques temps, jusqu'à ce que cette dernière exorcisa toute sa terreur et se livrât à toute l'affection qu'elle avait ressentie pour lui vivant.

Un soir, elle alla au bal et ses sentiments furent occultés par la cour que lui fit un gentilhomme florentin, plus amusant, plus aimable, plus sensuel lui sembla t il, que personne qu'elle eût jamais connu. Comme il la faisait danser, un glas sonna. Mina, perdu dans l'admiration de son cavalier, n'entendit pas le son ou y fut indifférente. Au second coup, plus sourd et plus profond, toute la compagnie fut effrayée; Mina alors entendit la phrase soupirée par le fantôme et, levant les yeux, vit dans le miroir, en face d'elle, le reflet du spectre se tenant debout. elle en mourut de terreur...

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22 juillet 2008

Faites gaffes

C'est l'histoire d'un mec qui emmène une fille pour faire un tour d'auto. Il est environ 9:00 heures du soir. Il tente de la peloter un peu....ensuite il sort pour aller uriner. 5 minutes passe et le mec n'est toujours pas revenu. La fille qui 'impatiente pense qu'elle devrait sortir de la bagnole pour aller le chercher, mais juste avant d'ouvrir la portière elle entend des grattements sur le toit de l'auto. Intrigué, mais très apeuré, elle décide de démarrer la bagnole et partir. Seulement a 3 mètres elle décide qu'elle devrait peut-être attendre son mec, elle se dit qu'il est peut-être en danger. Elle sort dehors pour l'appeler et lui dire qu'elle en a assez qu'il lui fiche la trouille. Mais juste avant de crier, elle se retourne, car elle sent une présence derrière elle. Qu'est-ce qu'elle voit? Elle voit son mec pendu à un arbre. Les grattements qu'elle entendait sur le toit de l'auto étaient en fait les espadrilles du mec qui était en suspension ... retenu par la corde. La fille avait tué son mec !

21 juin 2008

La baby-sitter hippie

Un jeune couple avait dû faire appel à une agence de baby-sitters pour garder leur enfant car ils devaient se rendre à une soirée. La baby-sitter qui venait habituellement chez eux étant souffrante, l'agence envoya une autre jeune fille. Lorsque celle ci arriva chez le jeune couple, ceux ci furent surpris de voir que l'agence leur avait envoyé une hippie. Etant ouvert d'esprit, ils partirent donc tranquillement à leur soirée.

Un peu plus tard, la jeune femme téléphona chez elle, afin de vérifier que tout se passait bien. La jeune hippie lui répondu que tout allait très bien, qu'elle ne devait pas s'inquiéter, et qu'elle s'était réchauffé de la dinde pour souper. La jeune femme revint vers son mari après le coup de téléphone, et lui dit qu'elle voulait rentrer immédiatement. Quelque chose lui paraissait étrange, et elle ne se souvenait pas avoir acheter de la dinde.

Arrivés chez eux, le couple vit la jeune hippie assise par terre les yeux regardant dans le vide, sans doute sous l'effet d'une drogue. Ils cherchèrent après leur enfant dans toute la maison. Arrivés dans la cuisine, il trouvèrent leur enfant rôti et partiellement mangé, emballé dans de l'aluminium.

 

21 juin 2008

Colocataire bruyante

Une jeune fille se trouvait seule chez elle, sa colocataire l'ayant prévenue qu'elle rentrerait tard. Peu de temps après s'être couchée, la jeune fille entendit, un bruit étrange provenant du couloir. Elle se précipita dans la salle de bain, et verrouilla la porte. Elle était effrayée, d'autant plus que le bruit se rapprochait de la porte. Peu de temps après, les bruits cessèrent, mais la jeune fille effrayée ne pu se résoudre à quitter la salle de bain.

Le lendemain matin, lorsqu'elle se décida enfin à sortir, elle trouva sa colocataire, morte, la gorge tranchée. Ses mains étaient ensanglantées, et ses ongles avaient laissés de traces sur la porte de la salle bain.

Toujours partant pour en avoir une ?

20 juin 2008

Ne vous inquiétez pas pour le bébé

C'était la première fois depuis la naissance de leur enfant que ce jeune couple partait en vacances. Ils avaient demandé à la tante de la jeune femme de garder leur bébé durant leur séjour, ce qu'elle accepta avec joie.
Le jour du départ arriva, mais la tante n'était pas encore arrivée. La jeune femme décida donc de téléphoner à sa tante pour voir si elle était en route, car leur avion décollait dans quelques heures.
La tante lui répondit qu'elle n'avait pas vu l'heure, et quelle partait immédiatement. Comme le temps pressait et que la tante n'avait que quelques kilomètres à faire, le jeune couple partit pour l'aéroport.
Au bout de deux semaines, les jeunes parents étaient heureux à l'idée de retrouver leur enfant.
Quand ils arrivèrent chez eux, ils trouvèrent leur bébé dans sa chaise... mort. La tante était morte dans un accident de voiture en allant chez eux le jour de leur départ.

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20 juin 2008

Alcoolique vengeur

Yvan était un alcoolique. À chaque fois qu'il avait un problème, il buvait. Un jour, quelqu’un mit beaucoup de morphine dans sa bière.
Il ne mourut pas mais il tomba dans le comma pendant un an.
Vite rétablie, il rentra chez lui. La personne qui l’avait plongé dans le comma était venue s’excuser.
Une semaine plus tard, on pouvait lire dans les journaux que cette personne avait disparue. Jusqu'au jour ou on trouva une chose horrible dans un panier.
Les yeux, le nez, les oreilles, la peau et les ongles de la personne baignait dans du sang.
Il fit de même avec les autres personnes qui le dérangeaient. Il s'était détraqué à cause de la morphine. Il disparu et la police ne le retrouva.
Tout le monde dans le village le détestait. Un jour, un vendredi 13, on aperçu sa tombe.
La question est, qui la enterrer ?
Certain pense qu'il s'était suicider en s'enterrant tandis que d'autre pense que c'est un mort-vivant et qu'une fois mort, il s'est fait une tombe.

 

20 juin 2008

Gentille petite fille...

C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des invités. Ils rentrent chez eux, avec aux moins 150 bornes de trajet. Ils traversent une immense foret quand tout a coup ils aperçoivent une voiture arrêtée au bord de la route.
En temps normal, ils ne se seraient certainement pas arrêté, mais la, une petite fille pleure a coté. Ils s'arrêtent donc et demandent ce qui se passe a la fille.
Elle montre la voiture en pleurant: les parents constatent avec effrois que deux personnes sont égorgées a l'intérieur.
Ils en concluent que ses parents on été assassinés et qu'il n'est vraiment pas prudent de rester ici. Ils prennent la petite fille dans leur voiture et filent au poste le plus proche ...30 Km... Le mari roule a tout allure.
Tout a coup, il tourne la tête, et aperçoit sa femme, les yeux dans le vide, la bouche ouverte et la gorge tranchée...il regarde dans le rétroviseur et voit la petite fille léchant un couteau plein de sang......"

20 juin 2008

Pourquoi n'a tu pas allumé la lumière ?

Janes vit dans une chambre avec sa colocataire Mélissa. Vers 9 heures, elle se rappelle que son livre emprunter à la bibliothèque doit être rapporté pour aujourd'hui et la bibliothèque ferme à 11 heures. Janes dit à Mélissa qu'elle doit sortir pour aller porter son livre à la bibliothèque et qu'elle sera sortie pour un moment. Elle invite Mélissa à se joindre à elle, mais celle-ci refuse prétextant qu'elle a des cours le lendemain. Mélissa demande à Janes d'éteindre la lumière en sortant car elle a sommeil. Janes sort de la chambre traverse le campus pour se rendre à la bibliothèque.

Une fois rendu elle se met à parler avec un de ses amis pendant quelques minutes pour réaliser qu'elle a oublié le livre à la chambre. Il est déjà 10 heures passées et elle promet à son ami de revenir rapidemant. Quand elle arrive à la chambre, elle se rappelle que Mélissa est endormi.

Janes sait cependant exactement ou se trouve le livre, sur son bureau tous près du lit de Mélissa. Pour ne pas réveiller sa coloc, elle entre tranquillement, attrape son livre et quitte la chambre sans allumer la lumière. Elle retourne ensuite à la bibliothèque, rend le livre et ressort pour prendre une bouché avec le copain qu'elle avait laissé là quelque minute plus tôt.

Quand elle retourne à sa chambre, elle y trouve une armée de policier et une ambulance. Un policier la saisi et la conduit dans la chambre, Janes voit deux choses à ce moment qui seront gravé pour toujours dans sa mémoire : Mélissa, maculé de sang et quelque chose d'écrit avec un rouge à lèvre sur le miroir de son bureau :

" Est-tu contente de ne pas avoir allumé la lumière "

20 juin 2008

Une attraction plus vraie que nature

C’est l'histoire d'un couple qui vont dans une sorte de `couloir de la mort' Le soir de l'halloween. Dedans, ils y avait plein de têtes humaines et autres partis du corps qui était découpés et disposer d'une manière en désordre. Bref, c'était écoeurant. Le couple était très effrayé.
Mais en touchant une des têtes, le gars s'aperçus que c'était louche. Le couple sorti avant la fin du trajet. Ils communiquèrent avec la police et ils (la police) découvrirent que c'était un maniaque qui coupait les visiteurs du couloir en morceaux arriver au bout de l'attraction. Bref, ils ont bien fait de sortir.

20 juin 2008

Accident de voiture

Après s'être disputée avec ses parents concernant une fête a laquelle elle ne pouvait pas assister, une jeune fille décida malgré tout d'y aller. Elle partit de chez elle par la fenêtre de sa chambre.
Arrivée là-bas, elle fit la connaissance d'un jeune homme qui lui proposa de se rendre à une autre fête, plus intéressante que celle-là.
Arrivés, le jeune homme se mis a boire plus que de raison, et la jeune fille lui demanda de la raccompagner à la première fête.
Sur le trajet, un terrible accident se produit. Lorsque la jeune fille se réveilla, elle était dans un lit d'hôpital.
Une infirmière lui annonça que son ami était décédé, ainsi que les deux passagers de l'autre voiture. Sentant que la mort arrivait, la jeune fille demanda a une infirmière de dire à ses parents qu'elle était désolée de leur avoir désobéit.
Quelque instant plus tard, la jeune fille mourut.
Lorsque des amis de la jeune fille se rendirent à l'hôpital juste après l'accident, un d'eux demanda à l'infirmière, si elle avait laissé un message pour ses parents, cette dernière répondit que non.
Intrigué par sa réponse, une autre infirmière demanda à sa collègue pourquoi elle avait menti. Elle lui répondit qu'elle ne savait pas quoi leur dire, car les gens dans l'autre voiture étaient les parents de la jeune fille.

20 juin 2008

Pourquoi n'es-tu pas allé voir les enfants ?

C'est l'histoire d'une baby-sitter qui a la charge de deux petits garçons dans une immense maison entourée d'une forêt.
Il se fait tard, les garçons sont couchés depuis longtemps et les parents n'arrivent toujours pas. Puis, le téléphone sonne.
La voix lugubre d'un homme se fait entendre:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Ce disant que cela devait être une mauvaise plaisanterie, la baby-sitter n'en tient pas compte.
Au bout de 15 minutes, le téléphone sonne à nouveau. La même voix ce fait entendre:
"Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
La baby-sitter commence à avoir la frousse mais elle n'en tient toujours pas compte. Au bout de 10 minutes, le téléphone sonne à nouveau:
" Pourquoi n'es-tu pas venu voir les enfants?"
Paniquée, elle appelle la téléphoniste et lui demande de retracer l'appel.
Au bout de trois minutes, la téléphoniste la rappelle lui disant de sorti au plus vite de la maison car l'appel a été localisé sur la deuxième ligne de la maison qui se trouve au deuxième étage.
Paniquée, la jeune fille s'enfuie.
Le soir même, lorsque les policiers arrivent sur les lieux, ils ont retrouvé les deux enfants éventrés et mutilés...

 

 

15 juin 2008

Les auto-stoppeuses fantômes

Le scénario est simple : la nuit vous prenez dans votre voiture une jeune fille en blanc. Elle semble un peu inquiète pendant la route et à un virage ou un carrefour dangereux, elle crie " Attention ! «. Vous vous concentrez sur votre conduite puis une fois qu'il est franchi vous vous retournez : votre passagère semble s'être évaporé ! Les registre de gendarmerie de manque pas de cas semblable.

Un samedi soir de décembre 1979, Michel P. sort avec ses amis. Il doit prendre le volant, car il est un de ceux qui possèdent une voiture. Il fait des allers-retours entre Limoge et Naixon où se situe une petite boîte de nuit. Lors de son second voyage, il aperçoit une forme blanche plantée dans un virage près de la discothèque : c’est une femme toute vêtue de blanc. Il décide de l’embarquer avec lui, car elle lui dit qu’elle va à Limoge rejoindre des amis pour une fête. Durant le trajet, il la détaille du coin de l’œil : 20-25 ans, vêtue d’une robe blanche très années 60, très jolie, mais très peu bavarde. À l’approche du pont de la Révolution, la passagère s’anime soudainement : « Attention, ce tournant est dangereux ! » Michel sourit, car ce virage il le connaît très bien. Tout à coup, un cri plaintif le tire de sa concentration : la passagère a disparu. Michel stoppe sa voiture et il en fait le tour ; aucune trace de la jeune femme. Lors de sa déposition à la gendarmerie de Limoge, on lui explique qu’il n’est pas le premier à vivre cela. Cette jeune femme fait régulièrement le même trajet pour ensuite disparaître au pont, l’endroit où elle trouva la mort vingt ans auparavant.

Ce phénomène n’en est pas un isolé. Près de 300 cas ont été enregistrés sur le territoire français. Des femmes vêtues de blanc font régulièrement des apparitions et de disparitions partout en France. Certains lieux semblent prédestinés à la fréquentation des dames blanches. C’est le cas de la lande située de part et d’autre de la route D.2, entre Lessay et Coutance. Ce tronçon de route rectiligne où pratiquement aucun véhicule ne respecte les limitations de vitesse abrite deux dames blanches. L’une d’elle se manifeste dans les bruyères par les nuits de pleine lune depuis des temps immémoriaux. L’autre a été reconnue comme étant Gabrielle R., une adolescente de Lessay tuée en 1970 dans un accident sur cette route. Lorsqu’elle est prise en charge, elle disparaît toujours à l’entrée de Lessay, à la hauteur du cimetière.

Plusieurs sceptiques pourraient être portée à ne pas y croire, car ça arrive souvent à des personnes seules. Par contre, plusieurs cas ont eu des témoins. Dans la nuit du 20 au 21 mai 1981, ils étaient quatre dans la voiture qui fit monter une auto-stoppeuse de 50 ans, elle aussi vêtue de blanc. La voiture ne comportant que deux portes, il fallut rabattre un siège pour que la femme puisse prendre place à l’arrière. Quelques kilomètres plus loin, à l’approche d’une courbe, elle se mit à hurler par deux fois de faire attention au virage avant de disparaître en une fraction de seconde…sous les yeux stupéfaits des deux passagers à l’arrière.

Parfois, des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l’imprudence de tenter de les toucher. En 1960, une femme fut prise en stop et disparut lentement dans un léger brouillard. L’homme avoua à la gendarmerie qu’il avait été un peu entreprenant avec la jeune femme, lui passant la main sur les jambes et, en l’absence de toute réaction, sur la poitrine. Il avait alors remarqué que la passagère dégageait un froid semblable à celui d’un marbre. C’est là un cas unique de contact physique avec l’un de ces êtres fantomatiques. Parfois, ces apparitions laissent des objets derrière ou en emportent avec eux. Un soir de 1997, un médecin grenoblois prit une jeune femme en stop. Elle resta silencieuse durant tout le trajet, sauf à l’approche du Pont-du-Furet où elle s’agita un peu. Elle se fit déposer plus loin, devant la maison de ses parents. Comme il pleuvait, le médecin lui prêta son parapluie. Il la vit franchir la porte de devant puis attendit qu’elle revienne lui porter son parapluie. Une bonne dizaine de minutes passèrent, mais elle ne revenait pas. Il décida d’aller frapper à la porte pour réclamer son bien. Un couple de quinquagénaires lui ouvrit. Le médecin apprit que la jeune fille qu’il avait décrite habitait bel et bien ici, mais qu’elle était enterrée depuis plusieurs années. C’était leur fille unique, morte dans un accident de moto, au Pont-du-Furet en 1975

 

Aux Etats-Unis, près de Justice, dans la banlieue de Chicago, se trouve << Résurrection mary >>. Elle mourut en 1934 dans un accident de la route survenu après une soirée au dancing O. Elle est ensevelie au cimetière de Résurrection, d'où son nom. Elle commence 5 ans après sa mort à arrêter les voitures pour retourner faire la fête au O, apparaissant comme une jeune fille blonde aux yeux bleus qui surgit sur la route, au coin d' Archer Road et faisait de même pour rentrer, disparaissant quand la voiture longe l'enceinte du cimetière.

Michel Simon roule vite sur une route de campagne et de nuit, et voit son père mort quelques années avant. Perturbé, il passe la nuit dans une auberge au lieu de continuer. Quand il reprend la route, il voit un arbre couché sur la route : à la vitesse où il roulait la nuit, il serait déjà mort !

Les hypothèses sont nombreuses quand vient le temps d’expliquer le phénomène. Les psychologues parlent de visions épileptiques, voire même d’hallucinations collectives si les témoins sont nombreux. Les sociologues parlent de légendes urbaines, véritables substituts à la vielle mythologie européenne des dames blanches qui apparaissaient régulièrement après être mortes de façon inattendue. Cette théorie est peu vraisemblable, car dans la majorité des cas, il y a des témoins, des descriptions concordantes avec de réelles femmes, une victime et souvent des dépositions à la gendarmerie.

Le fait troublant dans toute cette affaire, c’est que les jeunes femmes ne se contentent pas d’une seule apparition, mais bien d’apparitions régulières, comme si elles cherchaient quelque chose ou qu’elle voulait prévenir quelque chose. Peut-être cela vient-il du fait que leur mort violente et soudaine n’avait pas déclenché le processus de « départ » vers l’au-delà.

15 juin 2008

Un témoignage de maison hantée trouvé sur le net

Endroit : Non mentionné

26/04/2002, 14 : 25 : Nous venons justes d’emménager que nous entendons des bruits… Nous sommes terrifiés, mais nous allons voir à la cave malgré tout. Un hurlement se fait entendre et la lampe explose Effrayés, nous remontons  mais une armoire glisse de 3 m.

26/04/2002, 22 : 27 : Impossible de m’endormir, mon lit bouge d’environ 6 m.

27/04/2002, 09 : 47 : Je raconte ma terrible nuit mais nous sommes immédiatement interrompus par des pleurs de vieille femme. Pitié, sortez moi de cet enfer, je n’en peux plus !

27/04/2002, 12 : 05 : Mes parents tentent d’entrer en contact avec l’esprit. Le médium demande au mort de se montrer et de nous dire pourquoi cette hantise.

27/04/2002, 12 : 09 : Je pousse un cri  car une forme noire apparaît. Elle pousse la table et toutes les bouteilles et les verres explosent en même temps, puis elle disparaît. On entend alors des hurlements étranges et la poignée de la porte semble secouée avec une force inouïe. Puis des taches rouges apparaissent sur le mur.

27/04/2002, 19 : 03 : Je fais mes devoirs, enfin j’essaie car mon cahier glisse tout le temps et des bruits de pas résonne dans la pièce.

27/04/2002, 23 : 47 : Toute la maison se réveille car d’horribles hurlements se font entendre. A nouveau, des objets sont projetés dans toute la maison et ma poignée de porte manque de se casser tellement elle est secouée. Ma petite sœur est terrifiée.

28/04/2002, 1 : 32 : J’ai l’horrible impression que l’esprit s’acharne sur moi et ma sœur.

28/04/2002, 10 : 21 : Cette fois, nous allons demander au prêtre de notre paroisse de nous aider. Il vient à la maison et il constate immédiatement l’enfer que nous vivons : le miroir du salon explose sous ses yeux ébahis.

28/04/2002, 11 : 00 : Après une inspection, il nous conseille de mettre des croix un peu partout dans la maison. Il revient demain voir les résultats.

28/04/2002, 3 : 47 : Les croix semble provoquer la fureur du mort car des meubles sont projetés dans nos chambres accompagnés de cris semblant venir d’un démon.

28/04/2002, 8 : 02 : L’expérience est un désastre et nous décidons de faire exorciser la maison.

28/04/2002, 19 : 36 : Après quelques crises de colère de l’esprit, l’exorcisme commence.

30/08/2002, 15 : 28 : Les phénomènes recommencent après les effets positifs de l’exorcisme.

18/12/2002, 17 : 28 : L’entité est déchaînée à l’approche d’un Noël qui s’annonce mouvementé.

08/03/2003, 14 : 47 : Je sens que je vais devenir folle si ça continue ! Nous sommes à bout de nerfs et nous cherchons une maison plus calme et si possible sans surprise de ce genre.

26/07/2003, 12 : 00 : L’esprit a gagné car nous déménageons. J’espère que cette maison maudite va être détruite.

15 juin 2008

Un phénomène de hantise

Endroit : Normandie

M. de X, sa femme, leur fils Maurice, un abbé précepteur, Emile le cocher, Auguste le jardinier, Amélina la femme de chambre et Célina la cuisinière ont vécu dans un château hanté et ont raconté l'enfer qu'ils vivaient dans une sorte de journal. Voici un extrait que j'ai trouvé dans un livre :

<< Mercredi 13 octobre 1875 - M.l'abbé nous ayant affirmé que son fauteuil change de place, nous l'accompagnons, ma femme et moi, dans sa chambre, nous constatons minutieusement la place occupée par chaque objet. Nous attachons du papier gommé, qui fixe au parquet le pied du fauteuil. Nous quittons M. l'abbé ; je lui recommande de m’appeler s'il arrive quelque chose d'extraordinaire. A dix heures moins un quart, M. l'abbé entend sur le mur de sa chambre une série de petits coups, assez forts cependant pour qu'ils soit également entendus par Amélina, qui couche dans la chambre en face. Il entend ensuite, dans un angle de sa chambre, le bruit de l'encliquetage de la roue d’une grosse horloge qu’on remonte, puis un flambeau de métal qui change de place sur sa cheminée, en grinçant, enfin il entend et il croit voir son fauteuil se promener : il n'ose se lever et sonne ; j'y vais. Dès en entrant, je constate que le fauteuil a changé de place d'au moins un mètre : il est tourné devant la cheminée ; une bobèche placée au pied du flambeau s'est replacée sur le flambeau ; l'autre flambeau a été déplacé et posé de manière à ce qu'il dépasse de plusieurs centimètres le bord de la cheminée. Une petite statue placée contre la glace a été avancée de vingt centimètres. Je me retire au bout de vingt minutes. Nous entendons deux violents coups chez M. l'abbé, qui sonne et qui m'assure que ces coups ont été frappés sur la porte de son cabinet, au pied de son lit.
[...]
<< Vendredi 12 novembre - Plusieurs coups se font entendre, puis des cris aigus et forts, comme s'il y en avait plusieurs. Autres cris plus plaintifs dans le vestibule. Onze heures quarante-cinq, trois cris étouffés semblant venir de la cave, puis d'autres, plus forts, dans l'escalier. A minuit, tout le monde se lève : on entend des cris dans la cave, puis dans l'intérieur de la chambre verte, enfin les sanglots et les cris d'une femme qui souffre horriblement.
[...]
<< Samedi 13 novembre (la nuit) - Galopades comme les précédentes. Treize coups sur le palier, huit violents sur la porte de la chambre verte ; on clenche la porte et on la referme rudement. Minuit quinze minutes, deux cris très forts au palier ; ce n'est lus le cri d'une femme qui pleure, mais des cris aigus, furieux, maudits, désespérés, des cris de << damnés ou de démons >>. Pendant plus d'une heure encore, des coups violents se font entendre.
[...]
<< Vendredi 24 décembre - A midi, tous les domestiques étant à table, nous trouvons, dans la chambre de M. l'abbé , le lit renversé sur le côté et la table poussée dessous. Le soir, à six heures, nous rouvrons la porte de cette même chambre, qui était fermée à clé, et nous voyons la table posée sur le milieu du lit.
<< Samedi 25 décembre - A midi, pendant que tous les domestiques sont à table, on entend des coups dans la chambre de M. l'abbé. Sa porte est fermée à clé. Nous y faisons une perquisition et nous trouvons un fauteuil monté sur le pupitre de Maurice. Au retour des vêpres, nous trouvons chez M. l'abbé le canapé renversé, le réveille-matin sur le globe de la pendule et une chaise sur la table. Le soir, à neuf heures, on entend le balai se promener dans le corridor du second ; nous y allons : il avait changé de place >>
Les phénomènes prirent une telle ampleur que les occupants du château se décidèrent à faire appel à un prêtre exorciste, d'autant plus que les manifestations les plus spectaculaires avaient lieu dans la chambre de l'abbé. On pouvait en induire que les fantômes ou démons à l'œuvre en ce château visaient, à travers la personne de l'abbé, les symboles de la religion. Le prêtre exorciste arriva sur place au début du mois de janvier 1876.
<<[i] Mercredi 5 janvier[/i] - Le révérend père H. L., religieux prémontré, est envoyé ici par Monseigneur pour juger les faits et nous venir en aide. Le soir, vers cinq heures, c'est-à-dire peut de temps avant son arrivée, Mme de X. étant dans le salon, avec son fils, entend le bruit de la porte que l'on secoue avec violence, et voit le bouton de la porte tourner avec rapidité. Maurice était effrayé, Mme de X. se mit à chanter très fort pour l'empêcher d'entendre.
<< [i]Séjour du révérend père H. L.[/i] - A partir du moment où le révérend père est ici, le calme se fait subitement et d'une manière absolue. Rien, ni le jour ni la nuit. Le 15 janvier, il fait une cérémonie religieuse dans la maison. A partir de ce jour, nous entendons quelques bruits isolés et extraordinaires, la nuit, et toujours dans des endroits trop éloignés du père H. pour  qu'il puisse les entendre. Le révérend père nous quitte le lundi 17, et son départ est suivi aussitôt d'une nouvelle série de phénomènes aussi intense et aussi grave que ceux qui ont précédé son arrivée.>>
[...]
<< [i]29 janvier[/i] - Nous avons fait dire une neuvaine de messes à Lourdes ; le révérend père a fait les exorcismes et tout a cessé. >>
Les exorcismes  de Lourdes apportèrent au lieu une nouvelle accalmie. Néanmoins, quelques jours plus tard, un fait étrange survint, narré ici par l'abbé, dans une lettre du 20 janvier 1893 :
<< Des médailles de saint Benoît, des croix indulgenciées, des médailles de Lourdes avaient été placées à toutes les portes. Toutes ces médailles et croix formaient un paquet assez volumineux. [...] Dans la nuit qui suivit, un vacarme effrayant s'était produit, et [...] le lendemain, médailles et croix avaient disparus sans qu'il ait été possible de rien retrouver, et cependant elles étaient nombreuses, et les portes étaient nombreuses aussi. Or les exorcismes étaient terminés et furent suivis de quelques jours de calme. [...] Mais voilà que deux ou trois jours après, Madame écrivait quelques lignes, à genoux auprès d'un petit bureau, lorsque, tout à coup, un immense paquet de médailles et de croix tomba devant elle, sur le petit bureau. Il pouvait bien être dix heures trente du matin. D'où tombaient ces médailles ? C'était bien toutes les médailles placées aux portes, à l'exception des médailles de Lourdes. >>
Peu après, les phénomènes inexplicables reprennent de plus belle. M. de X. est à l'harmonium mais, dès qu'il cesse, l'écho des morceaux qu'il vient d'interpréter résonne dans le coin opposé du salon. En l'absence de M. de X., l'orgue se met à jouer tout seul, bien qu'il soit fermé à clé. Une commode lourdement chargée de livres et de linge se soulève toute seule à cinquante centimètre du sol et y demeure un long moment avant de redescendre doucement à terre. Le verrou du cabinet de toilette de la chambre de Mme de X. s'ouvre tout seul. Canapés et fauteuils se déplacent sans intervention humaine. Portes et fenêtres s'ouvrent ou claquent en l'absence de vent, etc.
Enfin, un officier, cousin de la famille, demanda à coucher dans l'une des chambres hantées du château. Il avait pris soin de garder son revolver à portée de main. Au milieu de la nuit, il fut éveillé par le froufrou d'une robe de soie, tandis qu'une main tirait son couvre-pied. Par trois fois, il essaya d'allumer sa bougie, mais à chaque elle s'éteignit comme si l'on soufflait dessus. Alors, il attrapa son arme et tira au jugé, mais en vain. Le lendemain, on retrouva les balles logées dans le mur d'en face.
Finalement, les occupants durent déclarer forfait. Le propriétaire, à bout de nerfs, vendit le château et s'installa ailleurs.

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